7. Notas

  1. «Le plus terrible cannibale n'est rien comparé à un propriétaire danois». Carta a Pissarro, finales de mayo de 1885, en Correspondance de Paul Gauguin. Victor Merlhès (ed.). Paris, Fondation Singer-Polignac, 1984, vol. I, p. 108.
  2. «Ma femme la famille tout le monde enfin me met sur le dos cette maudite peinture prétendant que c'est une honte de ne pas gagner sa vie. Mais les facultés d'un homme ne peuvent suffire à 2 choses et moi je ne puis faire q'une chose peindre». Carta a Pissarro, finales de mayo de 1885, Ibid., vol. I, p. 108.
  3. Gauguin, Pola: Paul Gauguin mon père. París, Les éditions de France, 1938, p. 82.
  4. «Vous êtes parisianiste. Et à moi la campagne. J'aime la Bretagne, j'y trouve le sauvage, le primitif. Quand mes sabots résonnent sur ce sol de granit, j'entends le ton sourd, mat et puissant que je cherche en peinture...» Carta a Schuffenecker, finales de febrero o comienzos de marzo de 1888, en Correspondance de Paul Gauguin, op. cit., vol. I, p. 172.
  5. En la edición del catálogo razonado de las pinturas de Gauguin, el cuadro se titula Autoportrait à Lezaven y se data en la primavera de 1888, en Lezaven, Bretaña (Véase Wildenstein, Daniel: Gauguin. Premier itinéraire d'un sauvage. Catalogue de l'oeuvre peint (1873-1888). Sylvie Crussard (textos e investigación). Martine Heudron (documentación y cronología). Milán-París, Skira / Seuil - Wildenstein Institute, 2001). Para Douglas W. Druick y Peter Kort Zegers, fue pintado en diciembre de 1888 en Arles (en Druick, Douglas W. y Zegers, Peter Kort: Van Gogh and Gauguin. The Studio of the South. Chicago, The Art Institute of Chicago — Amsterdam, Van Gogh Museum. Nueva York - Londres, Thames & Hudson, 2001, pp. 247 y 390-391.)
  6. «Vincent m'appelle quelquefois l'homme qui vient de loin et qui ira loin». Carta a Schuffenecker, hacia el 20 de diciembre de 1888, en Correspondance de Paul Gauguin, op. cit., vol. I, p. 306.
  7. Druick, D. y Zegers, P. K.: Van Gogh and Gauguin. The Studio of the South, cat. cit., p. 247.
  8. Manceron, Gilles: «Segalen et Gauguin», en Gauguin. Actes du colloque Gauguin. París, Musée d'Orsay, 11-13 enero 1989. París, La Documentation Française, 1991, p. 47
  9. «Par extraordinaire je lui ai mis un titre français: Pastorales tahitiennes; ne trouvant pas en canaque un titre correspondant». Carta a Monfreid, final de diciembre de 1892, en Lettres de Paul Gauguin à Daniel de Monfreid. Précédées d'un hommage par Victor Segalen. París, Georges Crès, 1919, p. 103.
  10. Véase el catálogo de la exposición Places of Delight. The Pastoral Landscape. Washington, The Phillips Collection en colaboración con la National Gallery of Art, 1988.
  11. «What characterizes painting in the line Manet to Mondrian —as well as poetry from Verlaine through Mallarmé to Apollinaire and Wallace Stevens— is its pastoral mood». «Review of Exhibitions of Hyman Bloom, David Smith, and Robert Motherwell», The Nation, 26 January 1946. Reeditado en Greenberg, C.: The Collected Essays and Criticism. 19391969. Chicago - Londres, The University of Chicago Press, 1986-1993, vol. 2, p. 51.
  12. «One flees to the sepherds from the controversies that agitate the market-place. But this flight -which takes place in art- depends inevitably upon a feeling that the society left behind will continue to protect and provide for the fugitive, no matter what differeneces he may have with it». En Greenberg, C.: Collected Essays and Criticism, op. cit., vol. II, p. 52.
  13. «The nonforming talents that sought an enterprising alternative to the relics of Impressionist realism in the 1880s». Gowing, Lawrence: «The Modern Vision», en Places of Delight. The Pastoral Landscape, cat. cit., p. 238.
  14. Ibid.
  15. «Puisse venir le jour (et peut-être bientôt) où j'irai m'enfuir dans les bois sur une île de l'Océanie, vivre là d'extase, de calme et d'art». Carta a Mette, febrero de 1890, en Lettres de Gauguin à sa femme et à ses amis. Maurice Malingue (ed.). París, Bernard Grasset, 1946 (reimp. 1998), p. 184.
  16. «Dans un paysage de Corot, il y a des arbres, des lierres, des eaux limpides où les nymphes viennent se baigneur à leur aise. Les nymphes de Corot dansent en nymphes et non pas comme des mortelles d'aujourd'hui. Tout pousse avec sérenité et recueillement et les eaux profondes n'ont jamais noyé personne. Toute l'âme de Corot a passé dans ses paysages; l'air respire la bonté, tandis que ses troncs d'arbres élancés y respirant la grâce et la noblesse. Il a compris la Grèce avec ses joies tirées de la nature». Carta a Schuffenecker, hacia el 20 de diciembre de 1888, en Correspondance de Paul Gauguin, op. cit., vol. I, p. 306.
  17. «Quelquefois je me suis reculé bien loin, plus loin que les chevaux du Parthénon... jusqu'au dada de mon enfance, le bon cheval de bois. / Je me suis attardé aux nymphes de Corot dansant dans les bois sacrés de Ville-d'Avray». En Gauguin, P: Avant et après [19021903]. Jean-Marie Dallet (prol.). París, Éditions de La Table Ronde, 1994, p. 33.
  18. «Ces nymphes, je les veux perpétuer... et il les a perpétuées, cet adorable Mallarmé; gaies, vigilantes d'amour, de chair et de vie, près du lierre qui enlace à Ville d'Avray les grands chênes de Corot, aux teintes dorées, d'odeur animale, pénétrantes; saveurs tropicales ici comme ailleurs, de tous les temps, jusque dans l'éternité». Gauguin, P.: Ibid., p. 236.
  19. «A decadent affectation of crudeness», en Johnson, Samuel: «Pastoral Poetry I», en Rambler, n. 36, 21 julio 1750. Reeditado en Eighteenth Century Critical Essays, Scott Elledge (ed.). Ithaca, Cornell University Press, 1961, 11, 579.
  20. Jirat-Wasiutyski, Vojtech y Newton, H. Travers Jr.: Technique and Meaning in the Paintings of Paul Gauguin. Cambridge-Nueva York, Cambridge University Press, 2000.
  21. «Or, si l'on examine l'art de Pissarro dans son ensemble malgré ses fluctuations [...] on y trouve non seulement une excessive volonté artistique qui ne se dément jamais, mais encore un art essentiellement intuitif de belle race. [...] Il a regardé tout le monde, dites-vous! Pourquoi pas? Tout le monde l'a regardé aussi mais le renie. Ce fut un de mes maîtres et je ne le renie pas». En Gauguin, P.: Racontars de rapin [1902]. Mónaco, Editions Sauret, 1993, pp. 30-31.
  22. «Bien loin d'exprimer l'âme et la vie des paysans comme fit Millet [...], il les observa avec la curiosité d'un Gauguin avide d'exotisme». En «Camille Pissarro» [1903], en Denis, M.: Le Ciel et l'Arcadie. Jean-Paul Bouillon (ed.). París, Hermann, 1993, p.83.
  23. «Je suis de tempérament rustique, mélancolique, d'aspect grossier et sauvage, et ce n'est qu'à la longue que je puis plaire», Carta del 20 novembre 1883, en Correspondance de Camille Pissarro. Janine Bailly-Herberg (ed.). París, Presses Universitaires de France, 1980, vol. I, p. 190.
  24. «Regarde les Persans, les Chinois, les Japonais, forme-toi le goût aux hommes vraiment forts, c'est toujours à la source qu'il faut aller: en peinture les Primitifs, en sculpture les Égyptiens, en miniature les Persans». Carta de Pissarro à Lucien, 25 junio 1883, Ibid., vol. I, p. 164.
  25. Carta a Pissarro, en Rouen, hacia mediados de mayo de 1884, en Correspondance de Paul Gauguin, op. cit., vol. I, p. 63.
  26. Wildenstein, D.: Gauguin. Premier itinéraire d'un sauvage, op. cit., vol. I, p. 142.
  27. «Mr Césanne a-t-il trouvé la formule exacte d'une oeuvre admise par tout le monde? S'il trouvait la recette pour comprimer l'expression outrée de toutes ses sensations dans un seul et unique procédé je vous en prie tâchez de le faire causer pendant son sommeil en lui administrant une de ces drogue mystérieuses et homéopathique et venez au plus tôt à París nous en faire part». Carta a Pissarro, junio de 1881, en Correspondance de Paul Gauguin, op. cit., vol. I, p. 21.
  28. «Allons faire un Cézanne», declaración de Paul Sérusier citada en Chassé, Charles: Gauguin et son temps. París, Bibliothèque des Arts, 1955, p. 50.
  29. «Je n'avais qu'une petite sensation, Monsieur Gauguin me l'a volée!» en Geffroy, Gustave: Claude Monet. Sa vie, son oeuvre [1924]. París, Macula, 1980, p. 328. Maurice Denis recoge otra versión más elaborada que le contó Octave Mirbeau: «Ah! ce Gauguin! J'avais une petite sensation et il me l'a prise. Il l'a menée en Bretagne, à la Martinique, à Tahiti, oui, dans tous les paquebots!» en Denis, M.: Journal, París, La Colombe, 1957-1959; vol. II, p. 46.
  30. «Voilà des merveilles d'un art essentiellement pur et qu'on ne se lasse pas de regarder». Carta a Pissarro, hacia el 10 de julio de 1884, en Correspondance de Paul Gauguin, op. cit., vol. I, p. 65.
  31. Wildenstein, D.: Gauguin. Premier itinéraire d'un sauvage, op. cit., vol. I, p. 250.
  32. «Au centre de l'Eden, Ygdrasil, l'arbre logarithmique, plongeait dans le sol ses racines de vie, et promenait sur la pelouse autour, l'ombre épaisse de son feuillage où s'éployait la seule Nuit. Dans l'ombre, contre son tronc, s'appuyait le livre du Mystère -- où se lisait la vérité qu'il faut connaître. Et le vent, soufflant dans les feuilles de l'arbre, en épelait, le long du jour, les hiéroglyphes nécessaires». André Gide, Le traité du Narcisse. 1891.
  33. Bodelsen, Merette: «Gauguin Collector», en The Burlington Magazine, septiembre 1970, pp. 590-616.
  34. «Les lignes monotonement courbes du buisson des saules, du rideau des peupliers, concourent à une impression de paix rural, attendrissante». «Camille Pissarro», en Aurier, Albert: Textes critiques 1889-1892. De l'impressionnisme au symbolisme. París, École nationale supérieure des Beaux-Arts, 1995, p. 56.
  35. «Les arbres rangés comme des soldats et les ombres portées en gradin comme un escalier». Carta a Pissarro, entre el 25 y el 29 de julio de 1883, en Correspondance de Paul Gauguin, op. cit., vol. I, p. 51.
  36. «Vous voyez que la pensée influe directement sur l'écriture. Avez-vous une lettre de Césanne». Carta a Pissarro, finales de noviembre-comienzos de diciembre de 1884, en Correspondance de Paul Gauguin, op. cit., vol. I, p. 77.
  37. «Voyez Césanne [sic] l'incompris; la nature essentiellement mystique de l'Orient, [...] il affectionne sous la forme le mystère et la tranquillité lourde de l'homme couché pour rêver». Carta a Schuffenecker, 14 de enero de 1885, Ibid., vol. I, p. 88.
  38. «Il a fallu un immense génie pour imaginer des fleurs qui soient des muscles d'animaux ou des muscles qui soient des fleurs. Tout l'Orient mystique rêveur se retrouve là-dedans». Gauguin, P.: «Notes sur l'art à l'Exposition universelle», en Le Moderniste illustré,, 4 julio 1889, p. 86.
  39. «Le chant de l'arabesque» es una expresión recogida en Diehl, Gaston: Henri Matisse. París, Pierre Tisné, 1954, citado en Matisse, H.: Écrits et propos sur l'art. Dominique Fourcade (ed.). París, Hermann, 1992, p. 134.
  40. «Il y a dans ces sous-bois aux végétations, aux flores monstrueuses, aux formidables coulées de soleil, un mystère presque religieux, une abondance sacrée d'Éden». «Paul Gauguin» [1891], en Mirbeau, Octave: Des artistes. Hubert Juin (pref.). París, Union Générale d'Éditions, 1986, p. 126.
  41. «Je suis tout confus et rouge en lisant vos compliments à propos du bois que je vous ai envoyé; je suis heureux qu'il vous plaise» Carta a Pissarro, 9 de noviembre de 1882, en Correspondance de Paul Gauguin, op. cit., vol. I, p. 35.
  42. «L'Exposition des Indépendants en 1881», en Huysmans, Joris-Karl: L'art moderne. Certains. Hubert Juin (pref.). París, Union Générale d'Éditions, 1975, pp. 239-243.
  43. Véase por ejemplo la carta a Pissarro de finales de mayo de 1885, en Correspondance de Paul Gauguin, op. cit., vol. I, p. 107.
  44. «Gauguin est redevenu très intime de Degas et va le voir souvent, curieux, n'est-ce pas, cette bascule des intérêts!» Carta de Pissarro a su hijo Lucien, 23 de noviembre de 1886, en Correspondance de Camille Pissarro, op. cit, vol. I, p. 141.
  45. «Manet avait endossé l'uniforme de chef maintenant qu'il est mort Degas va lui succéder et c'est un impressioniste qui dessine!» Carta a Pissarro, hacia el 7 de mayo de 1883, en Correspondance de Paul Gauguin, op. cit., vol. I, p. 43.
  46. «Il [Degas] ne trouve pas en effet dans mes toiles ce qu'il voit lui (la mauvaise odeur du modèle)». Carta a Émile Bernard, noviembre de 1889, en Lettres de Gauguin à sa femme ..., op. cit., p. 174.
  47. Bernard, E.:«Concernant Paul Gauguin», en Nouvelle revue d'Égypte, enero 1904, p. 8. Citado en Wildenstein, D.: Gauguin. Premier itinéraire d'un sauvage, op. cit., vol. II, p. 303.
  48. «L'une, que sectionne à la ceinture l'eau, développe un large dessin d'épaules, une architecture d'opulente bourgeoise; sur le pré, une pantoise petite servante, aux courts cheveux raides, à l'ahuri museau, la regarde grelotter, et, hésitante à faire le dernier pas, la main gauche au genou, -- hanche. Un grêle, rectiligne et lisse fût, déjà vu dans Cézanne, les sépare et divise la toile en deux caissons». «Aux magasins des marchands de tableaux» [1888], en Fénéon: Oeuvres plus que complètes. Joan U. Halperin (ed.). Ginebra-París Chroniques d'art. Librairie Droz, , 1970, vol. I, p. 95.
  49. «Je suis en train de faire une gavotte bretonne dansée par 3 petites filles au milieu des foins [...]. Ce tableau me paraît original et j'en suis assez content au point de vue du dessin». Carta a Théo van Gogh, hacia el 15-18 de junio de 1888, en Correspondance de Paul Gauguin, op. cit., vol. I, p. 151.
  50. Hay constancia de que Gauguin apreciaba la obra grafica de Caldecott-. Véase Wildenstein, D.: Gauguin. Premier itinéraire d'un sauvage, op. cit., vol. I, p. 267.
  51. Je vais m'occuper du tableau à retoucher; évidemment la main qui arrive dans le cadre prend beaucoup d'importance et je la croyais nécessaire ainsi pour équilibrer la danse qui a la forme d'un S. Mais comme ce sont des toquades de peintre et non d'amateur je tâcherai d'y remédier ou plutôt atténuer.« Carta a Théo van Gogh, 14 de noviembre de 1888, en Correspondance de Paul Gauguin, op. cit., vol. I, p. 282.
  52. «Aussi je viens de faire quelques nus dont vous seres content. Et ce n'est pas du tout du Degas. Le dernier est une lutte de 2 gamins près de la rivière — tout à fait japonais par un Français sauvage du Perou». Carta a Schuffenecker, 8 de julio de 1888, Ibid., vol. I, pp. 197-198.
  53. Delouche, Denise: «Gauguin au regard des autres peintres, ses prédécesseurs en Bretagne», en Delouche, D. (ed.): Pont-Aven et ses peintres. Rennes, Presses Universitaires de Rennes 2, l'Institut Culturel de Bretagne, 1986, p. 62.
  54. "The country people, of course, cherish the unlovely idols of an earlier time, such as those which Pausanias found still devoutly preserved in Arcadia. Athenaeus tells the story of one who, coming to a temple of Latona, had expected to find some worthy presentment of the mother of Apollo, and laughed on seeing only a shapeless wooden figure." Pater, Walter:"Winckelmann", en The Renaissance.
  55. "Une note de plein air peut etre une jolie chose par-ci par-la mais cela ne constitue completement un tableau et la preuve c'est que vous vous donnez la peine d'en faire." Carta a Pissarro, agosto o septiembre de 1881, en Correspondance de Paul Gauguin, op. cit., vol. I, p. 22.
  56. "Quant a ce qui est de vous, je crois qu'il est temps (si toutefois c'est votre tempérament) de faire plus a l'atelier mais alors des choses muries a l'avance au point de vue de l'arrangement et de la scene." Carta a Pissarro, mayo-junio de 1882, Ibid., vol. I, p. 29.
  57. "Tachez de venir dimanche prochain j'ai bien des choses commencées a vous faire voir j'espere que cela vous intéressera ce ne sont pas des résultats que je cherche ce sont des documents que je range pour plus tard." Carta a Pissarro, mayo-junio de 1882, Ibid., vol. I, p. 29.
  58. "Le petit Bernard est ici et a rapporté [...] des choses intéressantes. En voila un qui ne redoute rien." Carta a Schuffenecker, 14 de agosto de 1888, Ibid., vol. I, p. 210.
  59. Dujardin: "Aux XX et aux Indépendants. Le Cloisonnisme", en La Revue Indépendante, marzo 1888, p. 489.
  60. "Le Pardon de Pont-Aven venait d'avoir lieu, et j'avais peint, me servant comme theme du costume local, une prairie ensoleillé de parti pris jaune historiée de coiffes bretonnes et de groupes noir-bleu. De ce tableau Gauguin partir et fit la Vision du sermon tableau dans lequel les coiffes formaient également le motif principal. [...] Ce tableau a teintes plates tranchait comme une négation sur les oeuvres précédentes de Paul Gauguin, il se rapprochait jusqu'á la ressemblance de mes 'Bretonnes dans la Prairie'." Bernard, É. : "Note sur l'école dite de Pont-Aven", en Mercure de France, diciembre 1903, pp. 679-680.
  61. "J'ai fait pour une église un tableau naturellement il a été refusé aussi je le renvoie a Van Gog. Inutile de vous le décrire vous le verrez. J'ai cette année tout sacrifié l'exécution la couleur pour le style voulant m'imposer autre chose que ce que je sais faire." Carta a Schuffenecker, 8 de octubre de 1888, en Correspondance de Paul Gauguin, op. cit., vol. I, p. 248-49.
  62. Bodelsen, Merete: "The Missing Link in Gauguin's Cloisonism", en Gazette des Beaux-Arts, 53, mayo-junio 1959, pp. 329-344.
  63. Roskill, Mark: Van Gogh, Gauguin and the Impressionist Circle. Greenwich (Conn.), New York Graphic Society, 1970, p. 170.
  64. Amishai-Maisels, Ziva: Gauguin's Religious Themes. Nueva York-Londres, Garland Publishing Inc., 1985, pp. 28-30.
  65. Hoog, Michel: Gauguin: vie et oeuvre. Friburgo, Office du Livre, 1987, p. 77.
  66. "Je viens de faire un tableau religieux tres mal fait mais qui m'a intéressé á faire et qui me plaít. Je voulais le donner á l'église de Pont-Aven. Naturellement on n'en veut pas. [...] Je crois avoir atteint dans les figures une grande simplicité rustique et superstitieuse. [...] Pour moi dans ce tableau le paysage et la lutte n'existent que dans l'imagination des gens en priere par suite du sermon c'est pourquoi il y a contraste entre les gens nature et la lutte dans son paysage non nature et disproportionnée." Carta a Vincent, hacia el 25-27 de septiembre de 1888, en Correspondance de Paul Gauguin, op. cit., vol. I, pp. 230-232.
  67. "Gauguin n'est pas un voyant, c'est un malin qui a senti un retour rétrograde de la bourgeoisie en arriere par suite des grandes idées de solidarité qui germent dans le peuple, idée inconsciente mais féconde et la seule légitime! Les symbolistes sont dans le meme cas! Qu'en penses-tu?... Aussi il faut les combattre comme le peste!" Carta a Lucien, 20 de abril de 1891, Correspondance de Camille Pissarro, op. cit., vol. III: p. 66. Unas semanas después insistirá en los mismos argumentos: Carta a Lucien, 13 de mayo de 1891, Ibid., vol. III, p. 82.
  68. "Le tableau d'église vous sera remis et vous pourrez le montrer. Malheureusement il est fait pour une église et ce qui va la n'a pas le meme effet dans cet entourage de vitraux pierres etc.. que dans celui d'un salon." Carta a Théo van Gogh, 7/ 8 de octubre de 1888, En Correspondance de Paul Gauguin, op. cit, vol. I, pp. 247-248.
  69. Jirat-Watsiutynski, Vojtech y Newton, Travers: "Tradition et innovation dans la technique picturale de Paul Gauguin", en Gauguin. Actes du colloque Gauguin, op. cit., pp. 7172.
  70. "Je crois avoir atteint dans les figures une grande simplicité rustique et superstitieuse." Carta a Vincent, hache el 25-27 de septembre de 1888, en Correspondance de Paul Gauguin, op. cit., vol. I, pp. 230-232.
  71. En un exhaustivo estudio sobre Bretaña publicado en 1885, Henri Baudrillart se refería al "gout porté jusqu'a la passion pour le surnaturel qu'on a toujours remarqué dans la Bretagne rural" (Baudrillart, H.: Les populations agricoles de la France. Tome 1, Normandie et Bretagne, passé et présent. París, Librairie Guillaumin, 1885, p. 377) y en otro lugar explica que "l'imagination porté au merveilleux, au surnaturel, par suite aux légendes, en est un des caracteres les plus prononcés [del espíritu breton].", p. 417.
  72. Segalen, Victor: Gauguin dans son dernier décor et autres textes de Tahiti. Fontfroide, Bibliotheque artistique et littéraire, 1986, pp. 53-54.
  73. "Un conseil, ne copiez pas trop d'apres nature. L'art est une abstraction; tirez-la de la nature en revant devant et pensez plus a la création qu'au résultat c'est le seul moyen de monter vers Dieu en faisant comme notre divin maítre créer." Carta a Schuffenecker, 14 de agosto de 1888, en Correspondance de Paul Gauguin, op. cit., vol. I , p. 210.
  74. Baudelaire, Ch.: Critique d'art suivi de Critique musicale. Claude Pichois (ed.). París, Gallimard, 1992, pp. 288-289.
  75. La imagen se encuentra en la parte quinta de la novela, libro VI, capítulo iv.
  76. Hugo, V.: Les contemplations. Léon-Paul Fargue (pref.). Pierre Albouy (ed.). París, Gallimard, 2002, pp. 162 y ss.
  77. En Correspondance de Paul Gauguin, op. cit., vol. I, p. 501, nota 277.
  78. "Aux yeux de l'artiste, en effet [...] les objets ne peuvent avoir de valeur en tant qu'objets. Ils ne peuvent lui apparaítres que comme des signes. Ce sont les lettres d'un immense alphabet que l'homme de génie seul sait épeler. Écrire sa pensée, son poeme, avec ces signes, en se rappelant que le signe, pour indispensable qu'il soit, n'est rien en lui-meme et que l'idée seule est tout, telle apparaít donc la tache de l'artiste". "Le symbolisme en peinture, Paul Gauguin" [1891], en Aurier, Albert: Textes critiques 1889-1892. De l'impressionnisme au symbolisme. París, École nationale supérieure des Beaux-Arts, 1995, p. 33.
  79. 79 "La proie des littérateurs". "M. Gauguin" [1891], en Fénéon, F.: Oeuvresplus que completes, op. cit., vol. I, p. 192.
  80. "Si tu savais avec quelle platitude Gauguin a agi pour arriver a se faire élire (c'est le mot) homme de génie, et cela fort adroitement." En Correspondance de Camille Pissarro, op. cit., vol. III, p. 81.
  81. Amishai-Maisels, Z.: Gauguin's Religious Themes, op. cit., p. 31.
  82. "Naturellement, Gauguin, consolé par ma soeur, qui avait un vrai caractere de sainte et d'artiste, tomba amoureux d'elle et songea a l'enlever; mais mon pere s'interposa a temps.". Citado en Wildenstein, D.: Gauguin. Premier itinéraire d'un sauvage, op. cit, vol. II, p. 444.
  83. Van Gogh, carta a Bernard B 19a. En Correspondance complete de Vincent van Gogh, enrichie de tous les dessins originaux. M. Beerblock y L. Roelandt (trad.). Georges Charensol (int. y notas). París, Gallimard-Grasset, 1960.
  84. Druick, D. y Zegers, P. K.: Van Gogh and Gauguin. The Studio of the South, cat. cit., p. 224.
  85. "Il n'y a pas de sujet dans cette toile, mais les couleurs sonnent une fanfare puissante, et les figures, dans leur dessin simplifié, restent si peu humaines qu'elles semblent venues d'un autre monde mystérieux et terrible." Monfreid, G.-Daniel de: "Paul Gauguin", en La Revue provinciale, noviembre de 1903, p. 386.
  86. Carta a Théo 534, en Correspondance complete de Vincent van Gogh, op. cit., vol.III, p. 192.
  87. Boyle-Turner, Caroline: Gauguin and the School of Pont-Aven. Prints and Paintings. Douglas Druick (int.). Londres, Royal Academy of Arts - Weidenfeld and Nicolson, 1986, p. 38.
  88. "He was intrigued by the idea of people as a reflection of their environment. This formed a theme in many of his paintings, and is the thread that unifies his Volpini album." Ibid., p. 42.
  89. Brettel, Richard; Cachin, Frangoise; Stuckey, Charles F. y Freches-Thory, Claire: The Art of Paul Gauguin. Washington, National Gallery of Art — Chicago, The Art Institute of Chicago, p. 132.
  90. Druick, D. y Zegers, P. K.: Van Gogh and Gauguin. The Studio of the South, cat. cit., p. 277.
  91. "Ce n'est pas une nature privée d'intelligence, de grace et de tous les dons de la nature. C'est une femme." Carta a Schuffenecker, 20 diciembre 1888, en Correspondance de Paul Gauguin, op. cit., vol. I, p. 306.
  92. "Dans le village de Java il y a des danses Hindous. Tout l'art de l'Inde se trouve lá et les photographies que j'ai du Cambodge se retrouvent lá textuellement." Carta a Émile Bernard, marzo de 1889, en Lettres de Gauguin a safemme.., op. cit., p. 157.
  93. Carta de Vincent a Gauguin, 23 ó 24 de enero de 1889, en Paul Gauguin: 45 Lettres a Vincent, Théo et Jo van Gogh. Douglas Cooper (int y notas). 's-Gravenhague, Staatsuitgeverij, Lausana, Bibliotheque des arts , 1983, pp. 270-271.
  94. En Antes y después insistirá en las coincidencias entre los Vedas y Buda y la Biblia. Gauguin, P.: Avant et apres, op. cit., pp. 171-175.
  95. Sobre el poema de Aurier, ver Loevgren, Sven: The Genesis of Modernism. Seurat, Gauguin, Van Gogh and French Symbolism in the 1880's. Bloomington (In)-Londres, Indiana University Press, 1971, p. 138.
  96. "Quel artiste, ce Jésus qui a taillé en pleine humanité." Carta a Schuffenecker, finales de agosto de 1888, en Correspondance de Paul Gauguin, op. cit., vol. I, p. 216.
  97. "C'est un long calvaire a parcourir que la vie d'artiste!" Carta a Vincent van Gogh, hacia el 7-9 septiembre de 1888, Íbid., vol. I, p. 220.
  98. Durante su convivencia en Arles, Gauguin y Van Gogh visitaron juntos el Museo de Montpellier, donde contemplaron un cuadro de Antoine Verdier que retrataba al pelirrojo Bruyas como un Cristo con la corona de espinas. Druick, D. y Zegers, P.K.: Van Gogh and Gauguin. The Studio of the South, cat. cit., p. 255.
  99. Véanse las cartas a Théo 505 y 540 en Correspondance complete de Vincent van Gogh, op. cit.
  100. "Pour donner une impression d'angoisse, on peut chercher a le faire sans viser droit au jardin de Gethsemani historique." Carta a Émile Bernard B 21, comienzos de diciembre de 1889, Ibid., vol. III, p. 414.
  101. "C'est que j'ai travaillé ce mois-ci dans les vergers d'oliviers, car ils m'avaient fait enrager avec leurs Christs au jardin, ou rien n'est observé. Bien entendu chez moi il n'est pas question de faire quelque chose de la Bible --et j'ai écrit a Bernard et aussi a Gauguin, que je croyais que la pensée et non le reve était y notre devoir, que donc j'étais étonné devant leur travail de ce qu'ils se laissent aller á cela." Carta a Théo n° 615, 21 de noviembre de 1889. Ibid., vol. III, p. 407.
  102. "Vous devez vous rappeler ce que raconte Jacques de Voragine, que la nuit de la naissance du Sauveur les vignes fleurirent dans toute la Palestine. [...] Nous peintres, nous devons plutot peindre la floraison de ces vignes que les tourbillons d'anges qui trompettent le Messie." Gasquet, Joachim: Cézanne [1921]. París, Encre marine, 2002, p. 310.
  103. "Depuis Manet, il [Gauguin] est le peintre frangais qui eut la plus grande influence. Ce que fut Manet, pour la génération de 1870, Gauguin le fut pour celle de 1890." "La peinture" [1905], en Denis, M.: Le Ciel et l'Arcadie, op. cit., p. 85.
  104. Véanse las cartas a Mette de finales de julio de 1886, en Correspondance de Paul Gauguin, op. cit., vol. I, pp. 133, 137.
  105. Carta a Lucien, 22 de enero de 1887, en Correspondance de Camille Pissarro, op. cit., vol. II, p. 119.
  106. "La influence de Paul Gauguin" [1903], en Denis, M.: Le Ciel et l'Arcadie, op. cit., p. 8.
  107. "Se rappeler qu'un tableau --avant d'etre un cheval de bataille, une femme nue, ou une quelconque anecdote-- est essentiellement une surface plane recouverte de couleurs en un certain ordre assemblées". En "Définition du néo-traditionnisme" [1890], Ibid., p. 5.
  108. "Les émotions ou états d'ame provoqués par un spectacle quelconque, comportaient dans l'imagination de l'artiste des signes ou équivalents plastiques capables de reproducire ces émotions ou états d'ame sans qu'ils soit besoin de fournir la copie du spectacle initial; qu'á chaque état de notre sensibilité devait correspondre une harmonie objective capable de le traduire." En "De Gauguin et de Van Gogh au classicisme" [1909], Ibid., p. 162.
  109. "La déformation objective obligeait á son tour l'artiste á tout transposer en Beauté." En "De Gauguin et de Van Gogh au classicisme" [1909], Ibid., p. 163.
  110. Denis, M.: Journal,, op. cit., vol. I, p. 150.
  111. "Certes non, ce n'était pas une théorie idéaliste. Résultat immédiat des philosophies positives, alors en vogue, et des méthodes d'induction que nous eumes en si grand respect, ce fut bien la tentative d'art la plus strictement scientifique. Ceux qui l'ont inauguré étaient des paysagistes, des nature-mortistes, pas du tout des "peintres de l'ame." "Notes sur la peinture religieuse" (1896), en Denis, M.: Le Ciel et l'Arcadie, op. cit., p. 36.
  112. "Un tableau est une surface colorée, dans laquelle les divers tons et les divers degrés de lumiere sont répartis avec un certain choix; voila son etre intime", citado en Denis, M.: Le Ciel et l'Arcadie, op. cit., p. 5, nota 3.
  113. "[...] les deux déformations objective et subjective, il les pratique sans penser. [...] oui, les deux déformations, celle qui de chacune de ses toiles fait un tapis de couleur rare, et celle qui leur donne le charme de poemes délicats, elles sont l'armature invisible d'une oeuvre qui, par ailleurs, est le triomphe net de tes dons prodigieux et de ta souriante fantaisie." En Denis, M.: "L'époque du symbolisme" [1934], en Le ciel et l'Arcadie, op. cit. p. 216.
  114. "J'avais le sentiment de ne voir qu'une moitié des choses. Je croyais les autres initiés á des rites qu'on me cachait parce que j'étais trop jeune. Quand j'entrais, les conversations se taisaient devant moi, parfois je surprenais des signes que j'étais seul á ne pas comprendre, et, le soir surtout, quand je m'en allais dormir, je soupgonnais que des choses tres mystérieuses se passaient pendant mon sommeil." Gide, A.: Les cahiers d'André Walter. Avec des fragments inédits du Journal. Claude Martin (ed.). París, Gallimard, 1986, p. 214.
  115. "Nommer un objet, c'est supprimer les trois-quarts de la jouissance du poeme qui est fait du bonheur de deviner peu a peu; le suggerer, voilá le reve. C'est le parfait usage de ce mystere qui constitue le symbole: évoquer petit a petit un objet pour montrer un état d'ame, ou, inversement, choisir un objet et en dégager un état d'ame, par une série de déchiffrements." "Réponse á l'enquete de Jules Huret sur l'évolution littéraire" (1891), Mallarmé, Stéphane: Igitur. Divagations. Un coup de dés. Préface d'Yves Bonnefoy. París, Gallimard, 1976, p. 392.
  116. "La poésie commence ou naít le mystere". Borrador de una carta de finales de 1884, vendido en Christie's, Ginebra, el 14 de mayo de 2001; citado en Wildenstein, D.: Gauguin. Premier itinéraire d'un sauvage, op. cit., vol. I, p. XXXIII.
  117. "Le Nabi en mission á Tahiti", carta de Ranson a Verkade, octubre-noviembre de 1892, citado en Mauner, George L.: The Nabis: Their History and their Art, 1886-1896. Nueva York-Londres, Garland Publishing, 1978, p. 282.
  118. "Demain je deviendrai éleve de Bernard et de Sérusier." Carta a Monfreid, marzo 1897, Lettres de Paul Gauguin a Daniel de Monfreid, op. cit., p. 168.
  119. Carta a Monfreid, enero de 1900, Ibid., pp. 268-269. "Toute la bande Sérusier, Denis et Cie". Carta a Monfreid de julio de 1898, Ibid., p. 219.
  120. "Ne vous y trompez pas, Bonnard, Vuillard, Sérusier, pour citer quelques jeunes, sont des musiciens, et soyez persuadés que la peinture colorée entre dans une phase musicale." Gauguin, P.: Racontars de rapin [1902]. Mónaco, Editions Sauret, 1993, p. 45.
  121. "Vous connaissez depuis longtemps ce que j'ai voulu établir: le droit de tout oser: mes capacites [...] n'ont pas donné un grand résultat, mais cependant la machine est lancée. Le public ne me doit rien puisque mon oeuvre picturale n'est que relativement bonne, mais les peintres qui, aujourd'hui, profitent de cette liberté, me doivent quelque chose." Carta a Monfreid, octubre de 1902, en Lettres de Paul Gauguin a Daniel de Monfreid, op. cit., p. 348.