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A Genève, le Covid-19 jette ses derniers feux. Peu de nouveaux cas d’infection (qui s’expliquent, entre autres, par le grand nombre de tests effectués: 60 000 depuis janvier), une dizaine d’hospitalisations et plus de mort depuis le mois de juillet. Néanmoins, le virus de la peur aura fait beaucoup de dégâts. Des pans entiers de l’économie ont été mis à mal, surtout dans la restauration et le petit commerce, entraînant souvent chômage et faillites. Le milieu culturel a été décimé (théâtres, concerts, cinémas – une tristesse sans nom) et mettra longtemps à ressortir la tête de l’eau, comme le milieu sportif (impossible de survivre avec des matchs joués à huis clos).…  Seguir leyendo »

Il y a peu, nous vivions encore sous le signe de la normalité pré-corona. Et puis l’épidémie est apparue. En Chine tout d’abord, avant d’enfler progressivement, telle une avalanche grondant d’amont en aval, jusqu’à devenir une pandémie mondiale. Et si nombre de chercheurs l’avaient vu arriver, la situation actuelle n’en reste pas moins difficile à comprendre au moment où elle se produit réellement.

Depuis la mi-mars, les universités suisses fonctionnent en mode «urgence», comme dans le reste du monde. La crise a donné lieu à de nouvelles priorités, balayé les habitudes et éjecté chacune et chacun de nous hors de sa routine.…  Seguir leyendo »

En caso de que en Suiza todavía quedase algún “hombre de la calle”, como dice la expresión, y ese hombre (o esa mujer) no se encontrase en su casa aislado física, mental y socialmente, teletrabajando o, lo que es peor, en paro forzoso, si se le preguntase qué espera de la Unión Europea en la crisis del coronavirus, la respuesta sería una mirada de incomprensión o, simple y llanamente, un “nada”.

El reflejo es comprensible. En una crisis, todos miran primero por sí mismos, en Suiza tanto como en cualquier otro sitio. Sin embargo, cuando se trata de superarla más allá de lo inmediato, no hay mayor error que adoptar la estrategia del erizo.…  Seguir leyendo »