Il faut considérer l’environnement comme une richesse en tant que telle
Sept degrés de réchauffement global à la fin du siècle : c’est, dans le pire scénario, ce qu’indiquent les premières simulations des modèles climatiques français dans le cadre de la préparation du prochain rapport d’évaluation du Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC). A quoi ressemblerait un monde à + 7 °C ? Difficile à anticiper. Ce qui est sûr, c’est qu’il deviendrait vite invivable. Car le réchauffement climatique est le signe avant-coureur d’un déséquilibre plus global entre l’homme et la nature.
Depuis la révolution industrielle, nos sociétés s’acharnent à exploiter l’environnement. La façon dont les économistes ont représenté la nature a facilité cette démarche.… Seguir leyendo »