Italian voters have rejected plans for constitutional reform supported by the government of Prime Minister Matteo Renzi. This result means more political and economic uncertainty for the time being.
The aim of the reform was to end Italian’s “perfect bicameralism”; that is, the institutional arrangement whereby the house of representatives and senate have exactly the same powers and the government needs to receive a vote of confidence in both Houses. Perfect bicameralism was introduced in the first Republican Constitution, right after the end of Fascism, as a way to prevent the possible rise of a new dictator.
Over time, however, this system also reduced the efficiency and effectiveness of legislation while also increasing government instability.… Seguir leyendo »
Mientras la mayor parte de la Unión Europea parece haber entrado en pánico ante la perspectiva de una victoria de la líder de la extrema derecha francesa Marine Le Pen en la elección presidencial de Francia en mayo, la próxima prueba para la UE tendrá lugar mucho antes. El domingo los italianos votarán en un referendo sobre reformas constitucionales y los austríacos elegirán a su próximo presidente. Las elecciones de ambos países podrían tener ramificaciones importantes más allá de sus fronteras.
En Italia, el inminente plebiscito se ha convertido en un voto de confianza popular en el primer ministro, Matteo Renzi, quien ha dicho que renunciará si se rechazan las reformas.… Seguir leyendo »
It is a strange development that the greatest alliance of democratic states in modern history, the European Union, has come to fear democratic votes and elections. Yet the plebiscite on a set of constitutional changes in Italy on Sunday may be a momentous day for Europe and the European Union.
Italy was a founding member of the European Economic Community and of the common currency, the euro. If Italy votes no in the referendum and then turns against Brussels and the euro, it might well spell the end of the European Union. It would also be a serious and lasting defeat for a reformist and internationalist social democracy.… Seguir leyendo »
The world as we know it could come to an end this Sunday. Or it could be just another day. It depends on whom you talk to.
This weekend, Italians go to the polls to vote in a referendum on whether or not the country should amend its 1948 constitution.
The referendum is the brainchild of Matteo Renzi, Italy's energetic, 41-year-old Prime Minister. His intention is to defang the upper house of the Italian Parliament, the Senato, by cutting its numbers from 315 to 100, thus reducing its powers dramatically, making it more of a consultative assembly.
Yes, if you read to the end of the previous paragraph, you'll probably agree it sounds dull as dust.… Seguir leyendo »
A finales de febrero ocurrió un hecho cuyo importe no sabemos medir todavía: la conversión de Beppe Grillo, cómico de oficio, en la primera figura de la democracia italiana. En las elecciones a la Cámara Baja, y antes de contar los votos emitidos en el extranjero, Grillo aventajó a Bersani, a Berlusconi y a Monti, cuyos pobres resultados se interpretan como la resultante de dos vectores distintos: mal planteamiento de la campaña y enemiga casi ecuménica a la Europa que el imaginario popular identifica con la Merkel y la fiscalización alemana del euro. El hecho cuyo importe no sabemos medir todavía es portentoso, se mire como se mire.… Seguir leyendo »
Los resultados de las elecciones celebradas en Italia los pasados días 23 y 24 de febrero han provocado reacciones inusualmente sonoras. Muchos comentaristas, algunos incluso con responsabilidades de Gobierno, han hablado de la amenaza que la “ingobernabilidad italiana” supone para el resto de los europeos. Otros, intentando suavizar las tintas, han recordado que, aunque Italia ha sido siempre difícil de gobernar, los políticos italianos han sabido salir siempre adelante. Es innegable que Italia ha vivido situaciones políticas de gran complejidad. Si excluimos el cuarto de siglo fascista, un periodo que por razones obvias no se presta a ese tipo de comparaciones, Italia ha conocido a lo largo del siglo XX más legislaturas y Gobiernos fallidos que el resto de los grandes Estados europeos.… Seguir leyendo »
Personne n’aurait pu imaginer que, dans une capitale où d’habitude il ne se passe pas grand-chose, entre fin février et début mars, se déroulent simultanément deux événements exceptionnels et révolutionnaires. Bizarrerie du destin, les Romains peuvent voir deux grands films «politiques» hautement spectaculaires : la création ultraproblématique d’un nouveau gouvernement, et le plus incertain des conclaves. Quels beaux sujets pour des comédies satiriques à l’italienne ; dommage que les maîtres du genre (Pietro Germi, Mario Monicelli, Dino Risi, Elio Petri, Luig Comencini) ne soient plus là. A moins que Nanni Moretti ne nous surprenne avec une nouvelle version de son prophétique Habemus Papam ; titre conseillé du film : «Courage fuyons !».… Seguir leyendo »
El mejor retrato de la Italia moderna lo hizo Julio Camba, pero como era un humorista, nadie lo tomó en serio, cuando los humoristas son los tipos más serios que existen, como sabe todo el que ha tenido trato con ellos. Para aquel gallego mordaz y cosmopolita, el italiano moderno vive aplastado por la grandeza de Roma, que rigió, educó y civilizó todo el mundo conocido. «Al ver la solidez con que construían los antiguos romanos —escribió Camba—, me da la impresión de que lo habían hecho expresamente para fastidiar a los que viniesen detrás». Ese glorioso pasado ha traído dos cosas mortales para Italia.… Seguir leyendo »
La principale leçon des résultats des élections législatives en Italie tient à la victoire de deux formes particulières de populisme menées par Silvio Berlusconi et l'ancien comique Beppe Grillo. On pourrait croire que ces deux figures sont en quelque sorte les deux faces d'une même médaille : deux personnalités "antipolitiques" rejetant les procédures traditionnelles de la démocratie.
L'un a profité du pouvoir pour voter des lois destinées à sauver son empire médiatique, l'autre a jeté l'anathème sur le système politique lors de son "Tsunami Tour" où il s'en est pris à tous les responsables avec des accents dignes d'un Savonarole postmoderne, les jugeant "tous corrompus".… Seguir leyendo »
Que s’est-il passé le 26 février 2013 en Italie ? 8,5 millions d’électeurs ont choisi, librement et de façon informée, d’envoyer 162 citoyens ordinaires les représenter au Parlement et au Sénat. Et qu’a-t-il été dit de ce résultat ? Que l’Italie était devenue ingouvernable, qu’elle était passée aux mains d’un clown, que le populisme venait de connaître un succès qui en appelait beaucoup d’autres, que le délitement des systèmes politiques institués avait commencé, que le projet européen était en danger et la démocratie en péril.
Les familiers du monde clos des professionnels et des experts de la politique se sont vite accordés pour affirmer que le vote des Italiens portait en germe les prémices d’un effondrement, annonçait un inéluctable désastre.… Seguir leyendo »
No parliament, no government, no president of the republic. And now not even a pope. The situation in Italy resembles a house of cards in a perfect storm.
It’s not just a matter of politicians, scenarios and furniture flying all over the place until the storm subsides. The problem is deeper than that. The new Italian Parliament has three minorities that are unable to form a majority. It is a power game in which Pier Luigi Bersani, the electoral winner, is the political loser, and the electoral losers, former Prime Minister Silvio Berlusconi and ex-comic Beppe Grillo, are the political winners.… Seguir leyendo »
L'Union européenne (UE) a naturellement une responsabilité dans la crise politique qui secoue aujourd'hui l'Italie mais, sauf à être myope voire aveugle, on ne peut occulter ses dimensions internationales et domestiques.
La crise politique italienne est d'abord le sous-produit d'une crise économique secouant la plupart des pays développés et européens, que ces derniers soient ou non membres de la zone euro (isnt'it ?). Elle a été particulièrement dure en raison de la défiance brutale que les marchés financiers ont exprimée vis-à-vis de la dérive des comptes publics de la péninsule – défiance que l'imbroglio actuel pourrait malheureusement ranimer.
Cette crise politique traduit aussi l'exaspération sociale d'une population souffrant des ajustements et des réformes impulsées par le gouvernement du courageux Mario Monti.… Seguir leyendo »
Les résultats des élections italiennes sonnent comme un avertissement à l'Europe : la construction européenne est en danger car elle a perdu son sens civilisationnel. Il est dès lors vital de relancer la construction de l'Union européenne (UE) en replaçant ses valeurs fondamentales au cœur de son projet politique.
En novembre 2011, les marchés et les principaux dirigeants politiques européens avaient salué à l'unisson la nomination de Mario Monti à la présidence du conseil italien, car ils y voyaient l'assurance de l'application de la politique d'austérité qu'ils souhaitaient.
Le même mois, ils avaient applaudi l'accession de Lucas Papademos au poste de premier ministre en Grèce, après que George Papandréou avait du démissionner suite à sa proposition de référendum sur le plan d'austérité imposé par la troïka.… Seguir leyendo »
Following election results in Italy is like watching the same movie again and again always hoping for, but never getting, a different ending. Viewers leave asking the same question: Why do Italians continue to vote for Silvio Berlusconi?
Certainly, Italians do care about politics, as this week’s elections results can testify (the turnout was still close to 75 percent at a time of high political disaffection). Foreigners have a hard time understanding why a media mogul who led Italy to the brink of bankruptcy in 2011, who is accused of tax fraud, Mafia associations, exploiting underage prostitutes and misconduct in public office, still manages to compete head to head in national elections.… Seguir leyendo »
Las palabras, durante una campaña electoral, son tan inflamables como la gasolina, hieren como disparos, aunque revelen también aquello que se está quemando. Quien sabe escogerlas, y manejarlas, es capaz de entender el presente, e hipoteca el futuro. Quien lo ignora se condena. Voy a intentar explicar lo que ha ocurrido en Italia utilizando dos términos que me parecen las palabras clave para entenderlo. La primera es "tsunami". Pertenece a la lengua japonesa, y los italianos nunca habían oído pronunciarla antes del 26 de diciembre de 2004, cuando uno de estos fenómenos provocó una hecatombe en las costas del Océano Índico.… Seguir leyendo »
Beppe Grillo, the Italian comedian-politician, told you this was coming, but maybe you didn't take him seriously or still disdain the power of Twitter: Italy’s elections have produced deadlock, the news media are calling their country ungovernable, and the true victors are Grillo and his Five Star Movement.
His political tsunami has shaken Italian politics to the core and left the country facing months of instability and perhaps new elections, too.
Last night, having taken a quarter of the vote, Grillo chortled: “This is fantastic! We will be an extraordinary force,” and then announced he was off to bed with a cup of chamomile tea.… Seguir leyendo »
Italy’s parliamentary election could not have gone worse for the country or the euro area.
It is now possible that in the coming months the currency zone’s third-largest economy will need a bailout from international creditors, at a time when Italy will have no government in place to ask for, or negotiate, a rescue. In case you had any doubts, the euro-area crisis is back.
As has so often been the case in Italy, the political gridlock has come in the Senate. Neither Pier Luigi Bersani’s center-left coalition, nor the center-right led by Silvio Berlusconi managed to win a majority, in a political system where a government needs the support of both houses in order to get anything done.… Seguir leyendo »
It takes a certain talent to live in happy denial, to slide toward the edge of a precipice and be perfectly relaxed about it. Of all the talents that Italians are renowned for, such nonchalance is perhaps their greatest. Their economy is in deep recession; more than one in three young adults are unemployed; they are unable to compete economically with their neighbors; yet they continue as if nothing were happening, or as if a small glitch in the dolce vita could be fixed with the wave of a wand.
In particular, whether in awe or horror, they continue to be enchanted by the pied piper Silvio Berlusconi, the former and perhaps future prime minister and fabulously wealthy media magnate.… Seguir leyendo »
Mañana y el lunes se celebran elecciones generales en Italia. Los análisis a posteriori de las grandes coaliciones y partidos transalpinos enfatizarán algún aspecto positivo de los resultados obtenidos, bien sea en el conjunto del país, en parte de él o en alguna de los dos Cámaras (recuérdese que el sistema político italiano es de bicameralismo perfetto, lo que implica la confianza de ambas Cámaras para poder gobernar). Todos clamarán particulares ganancias que les permitan reivindicar su derecho a existir y, por ende, justifiquen la pervivencia de un sistema de partidos altamente desprestigiado.
En realidad, solo una de las formaciones concurrentes podrá arrogarse un éxito neto, claro e incuestionable.… Seguir leyendo »
In 1994 Silvio Berlusconi was standing in his first election. Nobody gave him a hope in hell of winning. He was a laughing stock, promising to create a million jobs and defeat the communists and sweep away the old politics. Italy had just gone through a traumatic and to some extent cathartic corruption crisis that had ended up with hundreds of politicians behind bars. I was living in Milan at the time, and my son had just been born. It felt like a revolution. It even looked a little like a revolution. A new Italy was emerging, at last.
