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Actress and activist Pegah Ahangarani has been sentenced to 18 months in prison in Iran for her political activities.

At first blush, the biography of Iranian actress Pegah Ahangarani could read very much like my own. Ahangarani is a working actress who supports social causes in her time away from set.

The difference?

In October, Ahangarani was sentenced to 18 months in prison for her peaceful activism.

In this regard, she is just the latest in a string of filmmakers and actors of Iranian cinema -- including acclaimed filmmakers Jafar Panahi and Mohammad Rasoulof and actor Ramin Parchami -- to be arrested or sentenced to lengthy prison terms in recent years.

Panahi and Rasoulof each were sentenced to prison -- the former for six years and the latter for five -- and banned from filmmaking for 20 years, accused of making "anti-regime propaganda".…  Seguir leyendo »

Chez Quentin Tarantino, cinéaste de grand talent, la mort est souvent fort jolie: le sang bien rouge qui jaillit des corps transpercés par les balles arrose gracieusement de belles fleurs blanches. Reste le message passé dans ses deux derniers films, Inglourious Basterds et Django Unchained: les méchants sont très méchants et, contre eux, tous les coups sont permis. Tarantino remonte le cours de l’histoire pour transformer celui-ci à l’avantage des opprimés. Et les «gentils» ne lésinent pas sur les moyens: on torture et on scalpe dans Inglourious Basterds, avant de griller Hitler et compagnie dans une salle de cinéma; quant aux héros de Django Unchained, le chasseur de primes préfère visiblement morts que vifs les individus dont la tête est mise à prix, quitte à les tuer devant leur enfant ou à achever les blessés; et l’esclave libéré casse les genoux d’un «collabo» pour bien le faire souffrir en prélude à l’apothéose finale: l’explosion de la belle villa de l’horrible Sudiste, avec tous ses habitants, sous les applaudissements ravis de la belle esclave qui vient d’être sauvée.…  Seguir leyendo »

La "Maison du cinéma" iranien comprend 5 000 cinéastes, 29 classes d'école de cinéma, des acteurs, des administrateurs, une association de scénaristes, une association de travailleurs des industries techniques. Depuis deux ans, la crise du cinéma iranien est relatée dans la presse. Cette crise n'est pas propre à l'Iran. A l'instar d'autres pays similaires, lorsque la presse est étouffée, soit les cinéastes expriment leur désaccord, soit ils arrêtent de produire et gardent le silence.

La politique du régime est de maîtriser et surveiller tous les mouvements citoyens comme les partis politiques, les syndicats, mais également le monde des arts (cinéma, musique, sculpture), afin de neutraliser l'opposition.…  Seguir leyendo »